The Scent Perfume Perfect Chandler Burr, Le nouveau porte-parole york times de parfum, oui, vous avez bien lu suite à la création de deux parfums définissant l’industrie. Bien bavure (l’empereur de parfum, 2003, etc.) se approche de son rythme avec scepticisme sain, il est aussi capable de langage fleuri, décrivant un parfum que sentant comme en début de soirée sur une île où il est toujours l’été. Ce est ce mélange de l’écriture et des envolées olfactive qui rend le texte incroyablement exaltante entreprise intraitable. Divisé entre les capitales jumeaux de la mode, et donc de l’industrie du parfum, le compte de bavure suit le développement de deux nouveaux parfums, chacun un high-stakes crapshoot. Le New York parfum était axée sur la célébrité. Pour créer Sarah Jessica Parker belle, l’actrice a passé une quantité impressionnante de temps avec les parfumeurs entreprises de la beauté-produit fabricant Coty qui tentent de créer un parfum qui non seulement capturer son essence (ne riez pas: ils semblent effectivement l’avoir fait), mais serait survivre dans un marché de $ 31 milliards de plus-volatile. Un jardin sur le Nil, le parfum plus traditionnellement conçu parisienne, était révolutionnaire à sa manière. Cherchant une plus grande visibilité dans le marché de la parfumerie lucrative, hermes embauché Jean-Claude Ellena, l’un des fantômes professionnels qui font réellement les parfums vendus sous les noms de designers, d’être son premier parfumeur jamais en interne. La lutte incroyablement complexe à définir et affiner nul, la première fois par bavure dans un article 2005 nouveau yorker, centrée sur un orgueil éphémère de mangues vertes sur le Nil. Belle vient à travers ici comme un parfum beaucoup plus personnelle, mais qui pourrait être un jugement subjectif auteur semble une petite étoile-frappé par SJP. Néanmoins, bavure évoque fortement l’enivrante, mélange souvent rageant de science exacte et la vision artistique nécessaire de créer un parfum, aidé par son détecteur bs impressionnante calibré et sa capacité à dénicher de nombreuses sales petits secrets de l’industrie. Une description inhabituellement terre d’une entreprise construite en grande partie sur artifice.
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